« Oser le féminin, c’est oser être soi »
J’emprunte cette belle vérité à Valérie Colin- Simard – « Quand les femmes s’éveilleront ». Cela aurait pu être le titre du cheminement auquel je t’invite.
Je l’ai nommé « Femmes qui aiment le mouvement de la Vie »
Parce qu’il y est question d’amour, trame originelle de toute femme.
Parce qu’il y est question de mouvement : celui des expériences que nous rencontrons, celui de nos résiliences, ou comment faire de ces expériences des opportunités de connaissance et d’épanouissement,
Il y a 2 semaines, s’est déroulé la première rencontre « Nouvelle Lune », soirée initiant le « Parcours Nouvelle Lune ». Une petite vingtaine de femmes étaient présentes ce soir là, une trentaine d’autres l’ont suivi en replay.
J’ai reçu plusieurs témoignages touchants suite à cette première rencontre.
Merci à celles qui me confirment ainsi combien il est vital et heureux de créer un espace d’intimité bienveillant, chaleureux, simple et sacré, permettant à chaque femme qui le ressent, de se reconnecter tangiblement à sa vibration de Femme.
Si tu es :
- Une femme qui a envie que les choses changent,
- Une femme qui a envie de replacer le féminin au cœur de sa vie et de la Vie,
- Une femme qui sent le besoin d’être pleinement – Qui elle est,
- Une femme qui ressent la nécessité de contribuer pour une évolution juste de l’humanité, contribuer à retrouver un équilibre entre le masculin et le féminin en elle et autour d’elle,
- Une femme qui a envie de redresser la tête et de prendre la vie en main,
- Une femme qui revendique sa sensibilité
- Une femme qui aime le mouvement de la vie.
Alors ce message s’adresse bien à toi.
À l’intérieur de : « Femmes qui aiment le mouvement de la vie », il y a le verbe aimer.
L’Amour
c’est l’antidote de la peur, l’amour nous donne des ailes pour réussir, c’est l’élan, c’est l’enthousiasme, c’est l’énergie du cœur, c’est l’énergie d’ouverture.
Dans « Femmes qui aiment le mouvement de la vie » il y a
« Mouvement de la vie »,
Le mouvement s’oppose à toute idée de rigidité ou d’immobilisme, il suppose la souplesse, la fluidité, comme le mouvement de l’eau.
Le mouvement de la vie, c’est la capacité d’accueillir les expériences comme autant d’opportunités de connaissance de soi et des autres, d’évolution de soi même pour être de plus en plus proche de qui nous sommes vraiment.
Nos expériences de vie nous façonnent et certaines peuvent être difficiles ou douloureuses. Nous pouvons nous sentir meurtries, nous pouvons nous sentir impuissantes, nous pouvons nous sentir victimes mais nous pouvons aussi, tout en reconnaissant ce qui est douloureux, injuste, triste, retrouver la pleine souveraineté de notre vie et faire de ces expériences un véritable tremplin pour grandir et comprendre ce que la Vie vient nous apprendre à travers
Ce message s’adresse aussi aux femmes qui ont envie de remettre au cœur de leur vie, leur sensibilité.
Reconnaitre cette relation intime que nous avons avec le cycle de la nature, les cycles de l’univers. S’autoriser la justesse d’écouter, de sentir notre intuition, d’écouter notre voix intérieure.
Dans « Femmes qui aiment le mouvement de la Vie » Femmes est au pluriel, parce qu’il ne s’agit pas juste d’ Oser le féminin pour être soi, mais aussi d’oser le féminin ensemble.
Permettre que l’énergie du féminin rayonne et devienne une valeur venant rééquilibrer notre monde.
Ce monde fonctionne sur des valeurs masculines qui, n’étant pas équilibrées par les valeurs du féminin, s’expriment dans l’excès, la rigidité, le tranchant, le matérialisme, la déshumanisation.
Les valeurs du masculin si elles peuvent se vivre en équilibre avec les valeurs du féminin vont permettre de créer un monde nouveau que ce soit sur le plan social, politique, économique, culturel, un monde humain.
L’humain c’est l’équilibre Yin/Yang, l’équilibre du féminin et du masculin.
C’est ce que nous avons à retrouver tout simplement. Il nous faut le retrouver chacune en nous. En créant cette union en nous, nous permettons qu’elle se réalise autour de nous.
Avec toute ma complicité chaleureuse de femme
Anne-Marie